Nos Valeurs
Les entreprises françaises sont désengagées à…90%, selon l’institut Gallup.
En réponse, les bilans sociaux, aux beaux histogrammes empilés, fleurissent ; les symptômes de la maladie sont décortiqués, et le coupable identifié. « Quelle surprise ! Il s’agit du stress. »
Pourquoi pas donner des cours de diététique, inciter à la pratique du yoga, épandre la joie comme de l’engrais avec des « Chief Happiness officers »… si l’on considère le stress comme inéluctable ?
Mais, l’est-il ? Leadership Paradoxal se propose d’extraire la racine du stress, au lieu de tenter d’en minimiser les effets.Ouvrons les yeux. Le désengagement de nos équipes vient essentiellement du management.
Notre cabinet a inventé un algorithme d’anticipation qui répertorie toutes les causes managériales, responsables du désengagement des salariés. Il est vain de manager le changement de tous ; changeons seulement le management de quelques-uns !
Tant qu’elles sont brandies en version incantatoire type : « Le changement, c’est maintenant », on sait qu’il ne se passera rien car on est en sujétion à une mode. Les seules valeurs qui vaillent sont celles qui sont structurantes et opposables.
Nous suggérons ainsi à notre lecteur en veille active sur INTERNET de toujours vérifier l’opposabilité de l’entreprise qui met en avant des valeurs bien précises tout en se comportant aux antipodes.
Celui qui donne un pourquoi à son existence peut justifier presque tous les comment
Nietzsche
C’est un état d’esprit permanent que nous proposons, sachant que croire l’autre capable de l’impossible fait sens et éclaire nos actions sur le long terme. C’est notre POURQUOI immarcescible ! Faire progresser quiconque, c’est zéro reproche à son endroit.
Nos expériences avec les entreprises en difficultés ou encore avec Pôle Emploi montrent que lorsque la RELATION HUMAINE perd le pouvoir, c’est la SITUATION ECONOMIQUE qui prend le pouvoir.
Notre métier de conseil en leadership passe par l’idée d’ancrer les zones de plaisir, car tout ce que l’on fait en plaisir, on le fait mieux, plus vite et plus longtemps…
L’altruisme est la condition première de notre leadership de progrès parce-que « le plus court chemin vers soi passe par autrui
Emmanuel CARRERE
Il est plus efficient de partager les valeurs de l’entreprise que de s’y soumettre. Sinon, on est en volonté et on ne tient pas longtemps.
Arturo Toscanini dit fort bien qu’il y a deux types de chefs d’orchestres : « le chef d’orchestre qui a la tête dans la partition » RAISONNE tout seul quand celui qui « a la partition dans la tête » RESONNE avec l’autre.
Un leader se doit d’être empathique ; de placer son intérêt personnel au même niveau que l’intérêt de l’autre en visant toujours la coopération dans une logique gagnant / gagnant. Haro sur l’intelligence logico-mathématique qui fait peut-être aller seul plus vite, mais collectivement moins loin que l’usage immodéré de l’intelligence interpersonnelle.
C’est dans la nature humaine de vouloir progresser. Un leader sait se mettre en exigence forte de progrès tout en transmettant sa confiance. L’efficacité d’un collaborateur est toujours en lien direct avec la confiance qu’on lui voue. Les managers mal lunés, tout autant que les savants ne transmettent JAMAIS la CONFIANCE.
Le pragmatisme orienté client, c’est cesser de croire à la supériorité des nains PROF ou GRINCHEUX qui dirigeaient le pays et l’entreprise jusqu’alors.
Ces deux nains ont su faire illusion dans une France en progression.
Dépêchons-nous d’être heureux, ne serait-ce que pour montrer l’exemple
MANAGEMENT DU CHANGEMENT ET CHANGEMENT DE MANAGEMENT
L’ABSENTEISME N’EST NI BANAL NI NORMAL