La vie est belle
Roberto Benigni, le créateur de « La vie est belle », film magistral sorti en 1997 et nommé 8 fois aux Oscars, est, sans le savoir, l’inventeur de notre « Leadership paradoxal ».
Son film raconte l’holocauste.
Dans un camp de concentration, un père « JOUE A LA GUERRE » avec son fils pour lui épargner l’horreur. Par la construction mentale du père qui nie le réel et invente un monde meilleur, l’enfant traverse la vie avec un registre émotionnel épargné ET un néocortex créatif bien sollicité.
Le bonheur se construit mentalement ; nous avons en nous les moyens de nous « fabriquer » un système immunitaire psychologique. Dans une même situation, certains d’entre nous s’estiment promis à endurer la vie quand, d’autres s’apprêtent à la déguster.
Roberto Benigni est un leader inspirant pour son fils : il mobilise pour aller vers demain ; c’est son but.
Roberto Benigni est un manager résilient pour son fils : il le guide en sortant des normes ; c’est son chemin.