« Hi Google, compte tenu de ce que tu sais de moi et de l’entreprise que je dirige, peux-tu me dire ce que je dois faire avec mes employés qui n’obéissent plus comme avant ? »
Pour qu’un enfant reconnaisse un chat, il faut lui en montrer …un. Pour que GOOGLE reconnaisse un chat, il faut lui en montrer 100.000. Il est un peu tôt pour confier notre avenir à un algorithme…
Ecoutons ce que dit Luc Julia, vice président de Samsung :
« On a beaucoup progressé en volume grâce au Big Data mais depuis 1956, l’Intelligence Artificielle n’est composée que de statistiques. Oui, le champion de Go se fait battre par l’ordinateur, mais ce champion n’utilise que 20 Watts / heure quand l’ordi a besoin de 200 millions de fois plus d’énergie. On n’est pas prêt de voir tourner une voiture sans pilote sur la place de l’Etoile à 18 heures. Plutôt que d’IA parlons d’intelligence augmentée qui aide l’homme, mais ne le remplacera jamais. »
DISRUPTONS : « Apprenons à aimer ! »
Notre chef d’entreprise qui s’adresse à Google doit éviter de confondre le cerveau et l’esprit. Le cerveau est un réseau de synapses et de substances biochimiques. L’esprit est un flux d’expériences subjectives telles que la douleur et le plaisir, la colère et l’amour.
On ne sait pas expliquer comment l’esprit créé du cerveau. Et qui peut définir l’intelligence ? Le « Deep Learning » ne cessera jamais de buter sur l’absence intrinsèque de motivation et de curiosité ainsi que sur les concepts abstraits. Notre cabinet aide à définir des valeurs partagées par tous qui remettent l’humain au cœur de l’entreprise. Il démontre que les convictions du cortex pétries de normes, de règles et de préjugés, pèsent bien peu face aux croyances de ce que chacun éprouve.
C’est pourquoi nos formations se font en face à face car notre capacité d’apprentissage passe toujours par nos registres émotionnels. Le professeur Jacquard nous dit simplement : « On peut apprendre à un ordinateur à dire je t’aime mais on ne peut pas lui apprendre à aimer»
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