« Pourriez-vous me le dire autrement, s’il vous plait ? Je n’ai pas compris ! Mon père assure que lorsque l’on ne comprend pas, c’est toujours la faute de l’émetteur qui nous force à venir sur son terrain sans se préoccuper du nôtre. »
A cette demande, le prof de maths frise l’apoplexie.
Cela fait 20 ans qu’il excelle à transmettre la théorie d’Einstein prouvant que l’énergie est équivalente à la masse et réciproquement.
Alors, ce n’est pas cette gamine qui va lui apprendre son métier !
DISRUPTONS : « Disons-le autrement ! »
Le meilleur enseignant est celui qui sait dire les choses autrement.
Il n’y a rien de pire que de redire la même chose à celui qui n’a pas compris.
Notre vie est placée sous le signe de l’imprévu. Mais on se débrouille toujours grâce à nos expériences antérieures. Nous procédons tous par analogie. Chaque perception repose sur une analogie ; chaque choix de mot et chaque concept s’étend par analogie.
L’analogie a détrôné la logique dans notre monde complexe.
L’analogie comble à chaque instant le fossé qui existe entre ce que nous vivons à un instant donné et ce que nous avons vécu de plus proche auparavant.
L’antilogie, forme dérivée de l’analogie pousse encore plus loin la disruption.
Quand la logique vacille, notre cabinet « Leadership paradoxal » virevolte d’analogies en antilogies pour tisser du lien (complexus en latin) entre une idée nouvelle et une expérience vécue.
Méditons la phrase d’ALAIN, philosophe antilogique du bonheur : « Ce n’est pas parce-que je réussis que je suis content ; c’est parce que je suis content que je réussis ».
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