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— IDEE RECUE 14 : « L’heure est grave !»

Nos industries disparaissent.
Quand l’état d’urgence est décrété, les techniques d’optimisation sur le court terme sont convoquées.
Le capital humain n’est plus alors qu’une variable d’ajustement.
Les salariés sont conditionnés avec menaces de licenciements, délais serrés, objectifs inatteignables, contrôles constants.
C’est le prélude à une mort programmée.
Sous stress, plus on met la pression et moins on a de chance d’obtenir le résultat. Achète –t’on à un vendeur qui s’acharne ?

 

DISRUPTONS : « Chatouillons nos cerveaux par l’humour »

 

Pour sauver l’entreprise, il faut cesser de gérer le stress, c’est-à-dire l’entretenir. Il faut l’éradiquer. Il n’y a pas de bon stress qui dure !
L’apprentissage obligé consomme de la motivation ; pas le jeu, pas le plaisir, pas le fun !
« Lorsque la vie est en jeu, il faut faire un jeu pour oublier l’enjeu » disait le maréchal Lyautey.
Notre cabinet « Leadership paradoxal » booste l’immunité, diminue la sécrétion d’hormones du stress par l’humour. L’humour est une chatouille cérébrale qui entraine les neuromédiateurs. Elle développe l’attention. Qui dit meilleure attention, dit meilleur encodage mémoriel et donc aptitude à mieux reproduire.
Notre cabinet lie les éléments incongrus entre eux par un mécanisme renforçant la capacité d’apprentissage et la créativité.
Et la gaieté est une conséquence du processus d’intégration d’idées opposées.
Verdi a créé son opéra le plus joyeux à 88 ans – Falstaff – par lequel il soutient que le monde entier est une farce et que l’homme est né bouffon. Humilité, humour, même racine !

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