La France subit une forte augmentation de l’absentéisme à l’école depuis les années 2000.
Ce n’est pas un problème de moyens puisque nous dépensons plus que tous les Européens pour l’éducation.
Ce n’est pas non plus un problème de compétences puisque les élèves qui savent ont un très beau niveau mondial. La preuve : Elon Musk, le patron de Tesla recrute des ingénieurs français à tour de bras.
Le problème n’est que motivationnel. Nos élèves débutent l’année sans désir d’apprendre.
Attention, la démotivation n’est pas une faute, mais un état ; il ne faut pas culpabiliser les enfants.

DISRUPTONS : « Enseignons l’en-saignant »

La motivation était automatique dans une France en croissance. Plus maintenant !
La motivation se fabrique exclusivement dans la relation à l’autre.
Il incombe à l’enseignant de progresser, LUI-MÊME, dans sa transmission du savoir, puisque d’un clic on peut déjà se passer de lui.
Le nain PROF ne peut plus remplir le vase de la connaissance comme hier quand la France économique exultait. Il n’est plus crédible !
Pas plus que n’est écouté le nain TIMIDE dénué de confiance en lui ou GRINCHEUX en manque d’énergie, SIMPLET ne captive son auditoire ; tout aussi peu qu’ATCHOUM en arrêt maladie ou DORMEUR qui est là, mais pas là,
Seul, JOYEUX sait juguler l’absentéisme.
N’avons-nous pas envie d’apprendre auprès d’un jovial qui déguste la vie plutôt qu’avec un morose qui l’endure ?
La preuve : « heureux », même au singulier a une allure de pluriel.
Notre cabinet valorise les émotions positives des enseignants. Nos leaders développent la joie, la seule chose qui se multiplie quand on la partage.