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— IDEE RECUE 10 « Il faut raison garder! »

Qu’arrive –t-il à nos politiques droits dans leurs bottes qui veulent raison garder ?

Nous avons deux cerveaux :
UN – le néocortex – C’est NOTRE CAVALIER qui donne le sens, commande, maîtrise sa monture et adresse un message par le haut.
Son défaut est qu’il n’est pas rapide, pas spontané, réflexif et compliqué. Il ne sait pas respirer la vie. Il peut l’imaginer, la transformer, la métaphorer. Il ne la vit pas…C’est le cerveau dominant des dirigeants, des politiques.

 

DEUX – le cerveau limbique – C’est NOTRE CHEVAL qui donne les sens ; il éprouve avant de penser, prêt à s’emballer. S’il a peur, il se cabre ; Il envoie les infos par le bas.
Par temps social calme, nos dirigeants musèlent leur cheval. Mais en temps de crise, ce n’est plus le sens néocortex qui les orientent mais leurs sens limbiques qui les désorientent.

 

DISRUPTONS : « soyons fiers de nos émotions »

Nous portons en nous, en parts égales, une pulsion de vie ; c’est le désir de grandir, de se construire et une pulsion de mort ; c’est le désir de frustration zéro.
« Leadership paradoxal » cherche le mouvement de bascule entre l’héritage des apprentissages du passé – privilège du cheval – et la construction d’un avenir – mission du cavalier.
Vaincre la crise française consiste à resynchroniser le cheval et le cavalier en chacun de nous et surtout pas à nier la part de l’autre.
Et, attention car notre cheval n’est pas intelligent ; il a seulement beaucoup de mémoire.

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